Idées cadeaux culture, loisirs, littérature Made in Martinique
Bel bonjou (bonjour) !
Noël approche, et je trouve que c’est une bonne excuse pour partager quelques petites idées cadeaux. Dans cet article, vous trouverez une sélection d’articles ou d’œuvres culturelles.
Littérature
Spécialement pour vous et avec tout mon amour, voilà les sorties de 2019 en « littérature martiniquaise » (car les auteurs y sont originaires, y résident) que je vous invite à découvrir, offrir ou même vous offrir. Je vous fais une petite sélection chronologique de ce que je souhaiterais m’offrir ou que l’on m’offre, je ne les ai donc pas encore lu, mais ils m’ont l’air d’être de bons cadeaux !!
La Martinique est définitivement une terre d’auteur-e-s ! J’ai fait une sélection d’une dizaine de livres, il y en a pour tous ! De la science fiction, de la fiction, de l’Histoire, de la littérature jeunesse (enfant même) ! Et surtout de jolies plumes.
1) Merine Ceco – D’autres vie sous la tienne
Pour commencer, « D’autres vies sous la tienne », c’est le dernier ouvrage publié par Mérine Céco ! C’est une auteure que je souhaite aborder depuis un bon moment mais jusqu’à maintenant cela ne s’est fait qu’à partir d’extraits qui m’encouragent encore plus car ses histoires sont vraiment intéressantes et puis c’est une plume qui au-delà d’être objectivement très belle, me plait.
J’ai aussi aperçu le début du chapitre 15 et je suis curieuse d’en lire plus !
Mérine Céco
Sur le site de l’éditeur, sa biographique la décrit ainsi : « Née en 1970 en Martinique, Mérine Céco suit en parallèle des études de philosophie et de littérature. À 22 ans, elle est agrégée d’espagnol puis docteur en sciences du langage. Élue en janvier 2012 présidente de l’Université Antilles-Guyane, elle en a démissionné en août 2016 pour rejoindre la Sorbonne, à Paris.
(Pour ceux qui ne sauraient pas, Mérine Céco est le pseudo littéraire de Corinne Mencé-Caster).
D’autres vie sous la tienne
Le résumé nous raconte ceci…
C’est une île lointaine, censément paradisiaque, que les dépliants touristiques surnomment « l’île des revenants ». Une île que cette femme a fui tant elle voulait l’oublier, se croyant victime d’un sortilège qui la lie toujours à elle.
Jusqu’au jour où elle se retrouve confrontée au désir de sa fille, pourtant née dans le pays d’adoption, de renouer avec les âmes errantes de cette île et les fantômes de son passé. C’est alors qu’affluent chez la mère tous les souvenirs enfouis, les récits familiaux douloureux, les drames de la violence misogyne, de l’inceste, du viol…
Par une lettre qu’elle adresse à sa fille, la mère interroge son passé et son présent, et, ce faisant, fait remonter à la surface des tresses de récits, des éclats de paroles étouffées, des questionnements intimes, autour notamment d’une figure trouble, celle du « dorlis »
Pour ce qui est de la forme que prendra cet ouvrage elle parle d’un « chassé-croisé« , entre une mère et une fille. Il est ainsi un témoignage sur une figure qui me construit celle des « femmes résistantes » qui osent affronter à plume découverte l’obscur éclat des généalogies marquées par une oppression masculine masquée ; celle des « déracinés » qui, dans le silence obstiné des autres, portent leur couleur de peau et leur histoire comme un fardeau.
Mérine Céco. D’autres vies sous la tienne. Éditions Écriture ; 2019
2) Michael Roch – Le livre jaune
Michael Roch
Nous l’avions reçu sur Super Radio dans « Pari Pris » pour parler de son roman Moi, Peter Pan, vous pouvez découvrir son interview sur le podcast. Vous pouvez aussi taper son nom sur la toile car il s’y ballade pas mal, vous y trouverez sûrement une description comme celle qui suit :
« Michael Roch a vu ses premières œuvres publiées dans divers fanzines fantastiques et horrifiques avant d’intégrer les éditions Walrus, célèbres sur Internet pour leurs romans Pulp.
Michael Roch est également chroniqueur et l’un des prescripteurs les plus suivis des littératures de l’imaginaire via la chaine YouTube qu’il a co-créée : La Brigade du Livre.«
Je sais aussi que l’auteur travaille également sur l’Afrofuturisme dans son oeuvre, ce qui me rend d’autant plus curieuse pour la suite !
Le Livre Jaune
Pour ce qui est de cet ouvrage, l’éditeur le décrit ainsi :
« Michael Roch nous plonge dans un drame féérique aux confins du cosmos, derrière Hastur, Aldébaran et les Hyades. Un pirate s’échoue sur les rivages de Carcosa, la Cité d’Ailleurs. Persuadé d’être mort, il est amené au Roi en jaune, hanté par le souvenir de ses amours. Ce dernier lui propose de revenir à la vie s’il parvient à le débarrasser de sa malédiction. »
Cette note de lecture qui en parle comme « Une formidable créolisation poétique et baroque du tissu mythique de Chambers, de Lovecraft et de J.M. Barrie. Fascinant » et moi qui m’essaye désormais à aux univers fictionnels (merci Ciné Woulé Company), alors ça me parle !
Michael Roch. Le livre jaune. Mü éditions ; 2019
3) Arlette Pujar – Suzanne – une trajectoire de vie (an didan an dewo)
J’aime les figures féminines, j’aime nos histoires, j’aime m’en nourrir, j’aime qu’elles s’exposent chaque jour par la vie, j’aime les y archiver, j’aime aussi les lire. Le résumé de ce livre est présenté comme la biographie d’une femme… Suzanne, ça me parle !
Arlette Pujar
Arlette Pujar est une auteure qui n’est pas à son coup d’essai. En effet : « Docteure en droit public Arlette Pujar est actuellement Directrice d’un Centre de formation. Elle est par ailleurs enseignante-chercheure à l’Université des Antilles et coache professionnelle. C’est avant tout une passionnée de l’histoire des habitants de son pays, la Martinique, qu’elle a connu à l’âge adulte.«
Suzanne – une trajectoire de vie (an didan an dewo)
Pour citer l’éditeur :
La rencontre avec Suzanne, qui était à l’époque la plus ancienne pensionnaire d’un EHPAD, (Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes) a donné lieu à une exceptionnelle amitié entre elles. A la demande de Suzanne, elle a écrit ce roman. Elle fait alors de Suzanne le symbole des solides liens d’amour qui se créent dans les structures d’accueil entre les orphelines, les pensionnaires d’une part, et leur personnel d’autre part. Suzanne est une leçon de résilience pour tous.
D’abord à une orpheline martiniquaise née en 1927, décédée en 2018. À coup sûr, les épreuves de sa vie montrent qu’il est possible de construire sa trajectoire personnelle en l’absence de liens avec ses propres parents durant l’enfance.
Arlette Pujar. Suzanne. Éditions Sydney Laurent ; 2019
4) Rolande Bosphore – La fusillade oubliée de Bassignac
La fusillade de Bassignac de 1923 fait partie des dates clé dans les mouvements de révoltes sociales du 20ième siècle en Martinique.
Rolande Bosphore
Rolande Bosphore est originaire de la ville de Trinité en Martinique. Elle est professeur en lycée, docteur en histoire politique et sociale contemporaine, chargée de recherche.
La fusillade oubliée de Bassignac
Madinin-art cite l’auteure lors de la présentation de son ouvrage : « En ce mois de février 1923, indiquait-elle, les travailleurs avaient accepté de travailler avec la promesse d’une revalorisation de leurs salaires. Promesse qui n’avait été tenue ni par les propriétaires terriens ni par les usiniers ». En rétorsion, les ouvriers ont brûlé des champs de cannes et entamé des marches de plantations à plantations. Les usiniers ont demandé à être protégés au prétexte que les usines étaient menacées. C’est en allant sur les plantations se situant aux abords de Bassignac que le 9 février 1923, les gendarmes ont tiré sur les ouvriers grévistes. Bilan : deux morts et de nombreux blessés. »
Rolande Bosphore. La fusillade oubliée de Bassignac. Centre Littéraire d’Impression Provençal ; 2019
5) Malik Duranty — L’Élève c’est celui qui s’élève – Nou Nou Ka
Malik Duranty
Malik Duranty c’est beaucoup d’activité. Il est notamment sociologue, artiste-auteur et pawoleur. Il a sorti plusieurs ouvrages des essais, de la poésie notamment.
L’Élève c’est celui qui s’élève
L’auteur nous dit :
« Le poème est un chemin par une interrogation profonde. C’est ce que nous mène à dire le recueil de poème de cet auteur qui vit à Fort de France en Martinique où il rencontre la diversité des gens de son pays. »
« Toujours est-il que ce recueil nous amène à un cheminement tendant de réifier cette assertion qui lui sert de titre « l’Élève c’est celui qui s’élève ». Oui, tout au long de la vie nous cheminons vers l’élévation. Et c’est cela qui est particulier avec ce recueil. Qu’elle que soit l’âge, le genre, la catégorie sociale, l’origine ethnique, géographique, philosophique et spirituelle de celui qui l’aura entre les mains.«
Malik Duranty. L’Élève c’est celui qui s’élève – Nou nou ka. Lésans Syèl Dlo Tè Difé. 2019
6) Malcom Ferdinand – Une écologie décoloniale Penser l’écologie depuis le monde caribéen
Malcom Ferdinand
Malcom Ferdinand est ingénieur en environnement de University College London, docteur en philosophie politique de l’université Paris-Diderot et chercheur au CNRS (IRISSO / Université Paris-Dauphine).
Une écologie décoloniale penser l’écologie depuis le monde caribéen
Sur le site de l’éditeur (Le Seuil), l’ouvrage est décrit en ces termes : « Face à la tempête, ce livre est une invitation à construire un navire-monde où les rencontres des autres humains et non-humains sur le pont de la justice dessinent l’horizon d’un monde commun. »
À partir des travaux et inspirations notamment de Glissant, nous prenons conscience de la richesse de l’archipelisme et des différentes influences et culture qui composent la et les cultures caribbéennes. Il est intéressant de positionner l’ouvrage Malcom Ferdinand dans cette perspective je trouve et d’adopter une vision de construction : en se demandant comment on « reconstruit » ? Je crois que c’est ce qu’aborde cet ouvrage.
Malcom Ferdinand. Une écologie décoloniale penser l’écologie depuis le monde caribéen. Seuil ; 2019
7) Imaniyé Dalila Daniel – Sakré Vakabon – Pas de liberté pour les nègres !
Imaniyé Dalila Daniel
On pourrait penser qu’Imaniyé a eu milles vies… En effet, personnage désormais publique martiniquais, elle a été et/ou est :
journaliste, secrétaire de rédaction et rédacteur en chef pour différents organes de presse, magazines, responsable de communication, présentatrice de spectacles, spécialiste de l’histoire des costumes traditionnels martiniquais (il faut rappeler qu’elle a eu comme mère l’une de celle – si ce n’est celle – la mieux placer pour lui léguer ce savoir), auteur, compositeur, choriste, directrice d’hôtel, militante du droit d’auteur, producteur de disque, entrepreneur de spectacle, metteur en scène, chanteuse, fondatrice et directrice de La Maison du Bèlè et aujourd’hui, comédienne de théâtre…
…je vous invite à vous rendre sur son site pour en savoir plus !
Sakré Vakabon – Pas de liberté pour les nègres
Son dernier roman « Zaïre et Théophile – Pas de pitié pour les nègres », une histoire d’amour inspirée de ses recherches aux archives, a été un vrai best seller (après l’avoir offert à ma mère, je compte le lui piquer pour le lire aussi pour tout vous dire) !
Elle revient avec « Sakré Vakabon – Pas de liberté pour les nègres », un tome 2 à Zaïre et Théophile. Vous pouvez retrouver toutes les infos sur la page Facebook dédiée à ces œuvres.
« Ce roman met en évidence une des pages les plus sombres de l’Histoire de la Martinique. Il décrit la manière dont les esclavagistes, soutenus par l’État, ont conçu et imposé leur vision de la liberté aux anciens nègres. Il évoque le simulacre d’abolition de l’esclavage en 1848, l’injustice et la pression insupportables exercées sur le peuple condamné à la souffrance et à la misère, jusqu’à la sanglante insurrection du Sud, en 1871. Voici l’histoire de milliers de vakabon et de vakabòn, qui se sont frayé un chemin de liberté, à travers les mailles serrées d’un projet conçu contre eux, sans eux. Les vakabon, héros et Mèt Piès de cette histoire, ont écrit quelques-unes des plus belles et douloureuses pages dans le grand livre d’Histoire de l’humanité.
Suivi de « Les décrets liberticides de l’abolition» Morceaux choisis des principaux décrets et lois, qui ont maintenu anciens nègres et négresses en servitude, après l’abolition.«
8) E.sy Kennega : Pom’Kanèl
Ceux qui me connaissent en tant que Laury le savent, j’aime offrir de la pédagogie en plus du loisirs. Ce qui est super intéressant, c’est qu’E.sy Kennenga fait le lien entre les deux à travers ce bel ouvrage. L’ouvrage physique est sorti cette année et ferait un joli cadeau à tous les nenfants je trouve !
E.sy Kennenga
E.sy Kennenga est un artiste pluridisciplinaire, en effet, il s’accomplit tant dans la musique que le graphisme (et aussi la photo et surement d’autres encore ?). Et à travers ce premier livre, ce sont ses talents de graphiste et celui de l’écriture qu’il nous propose de découvrir !
Pom’Kanèl
Un imagé pour enfant (et par conséquent pour les grands aussi ;-P) autour du noël de chez nous, en trois langues : français, anglais et créole (martiniquais je suppose ?) !
9) Jala – Dico Kfé
Jala
On ne présente plus Jala ! Mais sur Wikipédia, ils en parlent en ces termes : « Jeannine Lafontaine, également connue sous son nom de plume Jala, est une femme de lettres, conteuse, marionnettiste et éditrice française née le 26 janvier 1953 à Saint-Pierre, en Martinique. »
Dico Kfé
Dans le même univers que le livre précédent, Jala nous propose une nouvelle réédition améliorée de son Dico Kfé qui se veut « lien entre l’image et les mots ». Accompagné de CD, il a pour objectif d’aider à la pratique de la langue française, créole ou anglaise.
Jala. Dico Kfé. Éditions Orphie ; 2019 (première édition : 2002)
10) Poétique et politique de l’altérité – Colonialisme, esclavagisme, exotisme du XVIIIème – XXIème siècles
C’est en abordant l’histoire du mot « chabin » dans l’artice de Jessica Pierre-Louis récemment que j’ai découvert cet ouvrage collectif sous la direction de Karine Benac-Giroux ! Il m’a l’air de traiter de thématiques intéressantes et même si j’aurais plutôt tendance à le consulter en bibliothèque, peut-être que vous en auriez une autre utilisation ?
C’est un ouvrage collectif qui se propose donc d’explorer : « Les stéréotypes et assignations identitaires innervent les scènes et les imaginaires de la culture de langue française. Cet ouvrage collectif transdisciplinaire interroge les possibilités d’émergence de nouvelles formes d’altérité et leurs ambivalences, dans un dialogue entre Europe et Amériques. »
Karine Bénac-Giroux. Poétique et Politique de l’altéritéColonialisme, esclavagisme, exotisme (xviiie-xxie siècles). Classiques Garnier ; 2019
11) Juliette SMERALDA – Cheveux d’appoint – Perruques, tissages, rajouts de l’Egypte antique à nos jours
C’est également un livre que j’aurais tendance à consulter/emprunter à la BU (bon en vrai j’y ai travaillé, alors j’y passais pas mal de temps, du coup j’ai peut-être développé des habitudes un peu particulières ?) ! Mais il aborde un sujet intéressant et même si des fois je suis obligée d’enchainer les bouquins pour comprendre plus en profondeurs certains points (je ne suis pas originaire de la socio), ce sont des sujets intéressants qu’elle aborde (je vous ai dit que j’ai travaillé sur l’image des femmes noires dans une émission de relooking locale dernièrement ? J’y reviendrai peut-être, car ce n’est pas exactement la question ici…) !!!
Juliette Sméralda
Sociologue – Chercheure – Consultante – Enseignante, docteure en sociologie, ses thématique de recherches sont « les problématiques sociales, culturelles et identitaires des sociétés antillaises issues de l’esclavage et de la colonisation »
Cheveux d’appoint – Perruques, tissages, rajouts de l’Egypte antique à nos jours
Quel intérêt y a-t-il donc, après un tel constat, à interroger l’histoire du cheveu artificiel – celle plus générale de l’esthétique capillaire afro – en ce 21e siècle, qui a plutôt brutalement versé le continent et sa diaspora dans la “modernité” de la pensée et des pratiques esthétiques exogènes ?
Parmi les raisons de cette interrogation, le fait qu’il se dise, et cela est sans doute en partie vrai, que “la” femme kamite (Négro-Africaine du continent et de la diaspora) est “aliénée”, qu’elle a du mal à accepter son cheveu et/ou sa couleur de peau, ses premiers détracteurs étant les membres de sa propre communauté…
Juliette SMERALDA – Cheveux d’appoint – Perruques, tissages, rajouts de l’Egypte antique à nos jours ; 2019
Si vous en voulez plus…
J’aurais aussi pu aborder « Caresse d’une feuille de Canne« , que vous vous êtes de toute façon sûrement déjà procuré puisque ce Livre-CD était dans la rétrospective musicale de l’année dernière !
Et puis, les auteurs de la Martinique se rassemblent sous les nom « Les auteurs de la Martinique ». Je vous invite à retrouver Les Auteurs de la Martinique sur Facebook afin de suivre toutes leurs actu !
Et je vous donne rendez-vous en fin 2020 pour parler de nos lectures 😉 !
Loisirs
1) SAM Éditions (Sabine Andrivon Milton)
Saméditions : SAM comme les initiales de Sabine Andrivon Milton ! L’historienne et auteure nous propose différents jeux de sociétés et ouvrages sur son site !
Je découvre la Martinique
De mon côté, j’ai testé : le jeu de cartes 9 familles « je découvre la Martinique » super sympa et même génial ! Je l’ai quelques peu détourné avec ma petite nièce qui ne lit pas encore et une autre fois avec mes neveux afin de captiver au mieux leur attention et c’était super sympa !!!
La Martinique au bout des doigts
Nous avons aussi testé « La Martinique au bout des doigts » en famille et entre amis (je me suis rendue compte qu’on prenait le niveau avancé pour le niveau facile un peu tard malheureusement x))) ), je trouve que ce jeu permet de valoriser les savoirs non-formels, on peut jouer sur les noms des quartiers, des rivières, des anciens magasins… Les petits, les moyens et les vieux peuvent y jouer et y valoriser tout ce savoir !!
2) Coki puzzle
Coki Puzzle ce sont des « puzzles d’art afro-caribéen » !
Je trouve ça super intéressant comme approche de l’art. Je vous invite à découvrir, pour le moment des artistes de différents styles s’y retrouvent tels que : Ange BONELLO, Christine LAVAL, Christophe MERT, Claude CAUQUIL, Drey SORENSEN, Michaël CARUGE, OSHEA !
Vous y trouverez des puzzles adaptés aux différents âges (pour les tous petits et les grands) et aux différents goûts !
3) Ti’Kolibri Découverte
Si je vous propose de découvrir Ti Kolibri, c’est particulièrement pour les puzzles sur la géographie (Caraïbe, Martinique, Afrique…) et sur l’alphabet (martiniquais, guadeloupéen, guyanais, haïtien, réunionnais…). Mais Ti Kolibri Découverte, c’est encore plein d’autres chouettes choses à découvrir ! Plusieurs bonnes initiatives sont un bon moyen de visualiser et d’apprendre en s’amusant.
4) Kitangomingo Ema
Pour conclure sur un jeu de société, j’aimerais vous parler de Kitangomingo Ema (sur la trace de nos ancêtres), réalisé par l’association Karisko qui a pour objectif de contribuer à l’appropriation de l’histoire amérindienne de la Martinique. C’est un jeux très sympathique (quoi qu’un peu long si l’on joue avec le plateau je trouve) et instructif à la fois (vous en sortirez remplis de connaissances sur la Caraïbe passée et actuelle) !
Je l’avais trouvé à la librairie Antillaise, j’espère qu’il y est toujours dispo !
Si vous aussi vous aimez les jeux de société, je vous invite à en découvrir plus sur le Passe-temps by Tan Listwa et sur Kréyol Base !
En attendant la suite, je vous souhaite de belles fêtes avec beaucoup de magie, plein de sourires, et bien sûr… de l’Amour !
Lanmou, Alychouette