Ce premier mois de l’année …

Salut aux rares personnes qui passent sur ce blog, et salut à celle qui y reste et lisent mes articles (sans laisser de commentaires) !!!

Je voudrais tout d’abord vous souhaiter une année qui vous permette de tenir vos résolutions, tout ce dont vous avez besoin et plus !!! Oui, oui, on a le droit de souhaiter une bonne année jusqu’au 31 Janvier !

Ensuite, je souhaiterai vous faire partager ce mois de janvier, plutôt mitigé où bien que l’on essaie de faire en sorte que l’optimisme reste et nous enivre de la joie suffisante pour vivre cette vie le sourire aux lèvres, il y a toujours des moments de tristesse, de doutes, de désillusion qu’il faut tout de même continuer à voir avec un œil optimiste, il faut se relever et sourire à la vie, en se disant que tant que la vie est là, il vaut mieux de la vire avec le sourire !!!

Ce mois de janvier 2014 commença avec stress et appréhension, mal être et amertume. Car après ces vacances de noël, qui ne sont évidemment pas celles où nous avons le plus de temps, ni de motivation pour travailler. Après avoir essayer et essayer d »être à jour, essayer de travailler pour satisfaire car ce stress n’étant que mauvais nous voile la face quant à notre autosatisfaction.

Et pourtant, poursuivre ce mois avec optimisme, prendre le temps d’observer les jolies choses, de rires avec ceux qu’on aime, de les aimer et se dire « que demain sera meilleur » … Poursuivre ce mois avec optimismes malgré le mal-être, les coups de blues. Se dire que l’optimisme doit tout surmonter, doit-être plus fort.

Et puis ce « demain meilleur » qui arrive … Ces petits, moyens grands événements qui nous font plaisir et nous remonte le moral !!!

L’anniversaire de cette Miminette, notre petite (et vieille) Chocoline pour qui tous ces amis qui l’aiment entreprennent un cadeau qui semblerai lui avoir plu, un cadeau tout pleins d’amour à la hauteur de celui qu’elle nous donne. Cadeau relatant tous les bons moments avec cette Gofre. Prendre plaisir à lui souhaiter un joyeux anniversaire en ce jour du 9 janvier tout juste commençant, tout pleins d’amour à travers ces douzaines de voix … Ce franc « On t’aime » qu’on espère qui lui a plu. Surprendre ensuite cette dernière après quelques énigmes par son cadeau tout pleins de souvenir en récompense !

Il y eu aussi cette belle rencontre artistique #1 du mois : Black Kalagan, artiste de la Slamada. Slameur partageant ses principes, à travers ses slams. Slameurs écorché vif, des termes souvent crus, mais vrais. Et aussi sensible utilisation des mots avec minutie et une manution du verbe avec un tel art, une telle force, une telle âme. Pouvoir partager cette scène slam, mesurer la qualités de ces mots cette mélodie grâce à ses superbes musiciens. Rencontrer un slammeur de talent, un père, un homme (celui de Christine ᵔᴥᵔ), un fils, un frère, un Marrtiniquais et quelqu’un de simple, et d’agréable. Repartir avec « Cikatriz« , cet album tant attendu et cette petite phrase qui donne du peps : « Vivons chaque instant avec amour en cette drôle d’époque » sans oublier « Mèsi an chay ». Sé mwen ki ka diw Mèsi an chay pou taf la ou ka fè musieu.

Et puis ce coup de théâtre ! Cette rumeur … Des colombiens semblent réclamer leur drogue décident de débarquer en Martinique. Rumeur semant la terreur. Avoir peur silencieusement, s’insurger silencieusement contre l’hypothèse d’une rumeur, contre ces personnes qui veulent établir la terreur basée sur des choses néfastes.

D’autre part, une personne qui s’en va, ne fait pas partir du cercle privée, mais personne vivante, que l’on salut, à qui l’on témoigne quelques formules de respect, personne aux magnifiques dreadlocks à qui ont ne peut alors s’empêcher de le stipuler. Personne qui s’en va trop tôt et à qui on souhaite sincèrement de reposer en paix.

Néanmoins, belle rencontre littéraire du mois : Léonora Milano, auteur de La saison de l’ombre, prix Fémina 2013. D’origine Camerounaise, femme de caractère, avec un ton qui peut-être considéré comme un peu caustique mais pas hautaine ni arrogante. Un roman innovant, narrant l’histoire de l’esclavage sous le point de vue du village qui voient ces hommes disparaître sans savoir que c’est dans le but de commerce triangulaire.

Une nuit, le village mulongo est frappé par un incendie. La population, affolée par les flammes que l’on ne parvient pas à maîtriser, prend la fuite, pour chercher refuge dans la brousse avoisinante. Au petit jour, les villageois reprennent le chemin du retour. Ils se massent à l’orée de leurs terres, attendant que le clan entier soit rassemblé. C’est alors que la disparition de douze hommes, dix jeunes initiés et deux anciens, est remarquée.

Ebeise, la matrone du clan, qui siège au conseil des sages, suggère que les mères des dix adolescents disparus soient éloignées de la communauté. Elle espère ainsi éviter que leur chagrin ne se répande au sein des familles et fragilise le clan qui doit panser ses plaies, rebâtir ce qui a été détruit. Elle espère également que ces dix femmes sachent se consoler mutuellement, se soutenir. Le roman s’ouvre sur ces femmes recluses dans une habitation distante des autres, abandonnées à leur solitude et à leurs interrogations. Elles font un rêve. Le même.

Seule Eyabe, l’une des dix écartées, saura interpréter le songe et comprendre qu’un drame est arrivé, qu’elle ne reverra pas son fils aîné. Alors que les sages se perdent en atermoiements, la femme décide de prendre la route afin de trouver l’endroit où son garçon a péri, et de lui rendre les derniers hommages.

Attendre l’amour, mais en avoir peur, avoir 100 000 raisons d’en avoir peur et de ne pas y croire. Mais avoir ce petit optimise qui vous donne la force d’y croire. Alors l’attendre de façon officielle, cet amour … Pas de baisers volés. Une invitation, une demande, une acceptation puis une confirmations et des baisers offerts.

Victor O en concert pour présenter son album « Diaspora » sous titré « In tempore conquestus ». Une bonne présence, une belle intéractivité avec son public. De superbe mélodie notemment grâce à des musiciens de talents tels que Joël Jacoulet et Julien Belloir. Et le premier single éponyme de cet album tout simplement manifique et l’avant-première du joli clip spécialement pour son public fidèle …

Into the Wild, ce film, émouvant, philosophique, joyeux et triste à la fois. Un film à voir, un film qui pousse à méditer … Histoire d’un homme qui courageux touve la force de se libérer de ce système oppressant selon une Poulett’ cependant qualifié d’égoïste aux yeux d’une Létu. Un peu des deux en fait ! Malheureusemet une triste fin, d’une histoire vraie cinématographiquement adaptée.

Une toute première Lettre d’un inconnu reçue, dont une certaine Chocoline est soupsonnée d’en avoir fait la surprise, quel bonheur de recevoir une lettre, une jolie écriture, une jolie carte, une enveloppe à ouvrir et pour cette toute première de l’année, un sierge magique à allumé pareillement à certains pays d’Asie, afin de passer une bonne année : pétillante, lumineuse, craquante, et étincellante !!! Un grand MERCI à cette Chocoline (et pas pour ceci seulement) !

Et alors que tout n’allait pas si mal que ça, apprendre la mort d’un être cher, quelqu’un de bien, quelqu’un qu’on aime. Cette personne habituée aux combats, seulement à la loyal, et qui a effectivement gagné son dernier combat. Quelqu’un qui, on l’espère, est bien là où il est ! Quelqu’un qu’on aimera toujours quand même, qu’on oubliera pas et à qui on souhaite de reposer en paix.

Tandis qu’en cette fin de premier moi de l’année nait un petit être, une petite princesse, un magnifique bébé avec une jolie petite bouche. Une petite à qui on ne peut que souhaiter d’avoir une belle et longue vie. Des félicitations à sa petite maman et puis pleins de bisous et d’amour à cette maman, cette grande soeur et cette petite princesse loin de leur île aux fleurs !!!

Effectivement ce mois de Janvier fut long, rythmé de haut et de bas mais c’est en conclusion un grand merci à tout ceux qui contribuent à faire en sorte que ces moments de bas soient remplacés par de bons moments, qu’il faut exprimer !!!

Et vous votre mois de Janvier, comment était-il ?

Ce premier mois de l'année ...
Ce premier mois de l'année ...
Ce premier mois de l'année ...
Ce premier mois de l'année ...
Ce premier mois de l'année ...

« KREYOL » extrait de l’album « Cikatriz »

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