From the Flower Island to the Nature Island

Nous arrivâmes donc Lundi par bateau à Roseau : la capitale -qui doit d’ailleurs son nom à la plante – (tant qu’on peut mettre ses leçons à contributions ^^). Nous avions élu logis dans une Guest House du nom du Sea World, ce n’était pas du luxe, mais c’était ce que nous voulions : une chambre dans un endroit agréable, au bord de l’eau avec une piscine en bonus dont les enfants raffolaient !

Nous y étions situés non-loin du centre-ville de Roseau où l’on peut donc se rendre facilement à pieds ou en bus que l’on peut prendre simplement en longeant le bras au bord de la route, et dont le tarif est tout à fait abordable.

Par contre c’est à bord d’un taxi que nous avons efficacement silloné l’île, evidemment c’était là un tout autre tarif, mais qui en valait la peine ! C’est donc à bord du taxi Au Top que nous avons pu découvrir de long en large cette magnifique île.

Puis le deuxième jour, après un petit-déjeuné complet, nous avons pris la route direction Le territoire des Kalinagos, après une rapide échange avec celui que nous pouvons nommer le ministre de la culture, chargé d’archiver le savoir des anciens, un sauvegardeur de patrimoine, nous avons pu visiter la réserve, malheureusement, nous n’avons pas eu la chance d’assister à une dance traditionelle, mais nous avons par contre pu nous restaurer avec une déliceuse cassave saveur Gingembre. C’est un lourd patrimoine que possède les kalinagos, une boucle intéressante à faire dans ce joli village traditionnel. Il faut d’ailleurs savoir que le territoire Kalinago, appartient entièrement à ce peuple et ne peut-être vendu, il est composé de 9 villages où vit ce dernier, selon leurs propres règles. Evidemment, avec le temps, ils se sont modernisés ce ne sont donc pas des Hommes primitifs qu’on y rencontre, mais cet endroit est en fait un rendez-vous avec un patrimoine ancestral, riche des méthodes de fabrications du Gommier ou renfermant les secret des plantes…

Non loin de là, accesible après une dizaine de minutes de marche en pleine forêt, il y a un endroit en pleine nature qu’il ne faut aboslument pas rater : c’est L’Emeraude Pool, une piscince naturelle qui porte bien son nom…

Malheureusement, je ne suis pas photographe, mais je peux vous promettre que cet endroit est à couper le soufle ! De toute façon le copain Google est là pour renseigner 😉 

Le troisième jour, nous partîmes, à la conquête des Trafalgar Falls, que nous n’avons finalement pas vraiment conquises mais qui suffirent au ravissement oculaire ! En effet, ce lieu est vraiment incroyable, en pleine forêt, il suffit de lever la tête pour admirer deux chutes d’envergure jaillir de la falaise.

Et puis après ce détour, et l’approche de quelques ravissements de la nature sur la route comme ces eaux souffrées chauffées naturellement, ce Boa constrictor en guise de boa décoratif, ou encore la nature qui décida de jouer à David et Goliath en faisant valoir ses droits de façon gargantuesque face à ce bus… c’est à la Soufirère que nous nous sommes rendu, pour un petit bain soufré.

Et nous avons par la suite découvert la pointe sud de la Dominique : un petit bout de terre relié à l’ile par une pan de de terre qui matérialise la séparation entre la douce mer des caraïbes et le turbulent Océan Atlantique. C’est ce qu’on appelle un paysage paradisiaque !

Photographies à l’appui…

Mais ce troisième jour fut aussi et surtout l’occasion de fêter la vie ! De se réjouir d’une des plus magnifiques incarnations de la vie que l’on puisse trouver sur terre, celle d’une formidable Nico…

Dernier jour de visite… Porsmouth, la deuxième ville de l’île, au Nord ! Et sur la route, pleins de merveilles ! Ce gros cailloux appelé Djol Lion (si je me souviens bien) où devriez pouvoir observer une gueule de lion.

Et c’est sous l’égide de notre James Bond local, dans la barque 007, que nous avons découvert Indian River, la seule rivière du Pays où il est possible de naviguer ainsi, grâce à la profondeur (quasiment trois mètres de profondeur), c’est donc avec l’oreil attentive, que nous écoutions l’histoire de ce lieu que James Bond nous conta en nous fesant visiter à la force de ses bras au milieu des arbres mangos aussi surnommé Blood Wood (littéralement : Bois sang), par rapport à sa sève rouge que les indiens utilisaient d’ailleurs pour se peindre la peau. Ses arbres dont la beauté résume dans les magnifiques racines que notre guide n’a pas manqué de comparer au mouvement de la jupe de la belle dame qui danse du bèlè. 

C’est alors à bord de cette barque colorée que nous avons visités ces décords rocambolesques qui ont servis de décords à différents films, notamment Pirates des Caraïbes, nous avons d’ailleurs pu admirer la case de la sorcière Calypso.

Puis nous si la veille c’est la pointe sud que nous avons visité, ce jour c’est la nord que nous avons pu apprécier du haut du Fort Shirley, lieu d’histoire mais aussi point d’observation incroyable où l’on peut observer le point culminant de l’île : le Morne Diablotin.

SI je retient quelque chose de cette île, c’est son architecture etlectique, on trouve des maisons inspirés d’un peu de tout les styles, mais surtout très colorées !

J’y retiens les magnifiques sites que nous avons pu admirer, et puisque qu’après trois ans vous commencez à connaître Alychouette, vous saurez quelle aime la musique, un peu comme tout le monde me direz vous… Oui, mais, sachez que même quand elle essait de faire une pause, c’est la musique qui la rattrape, sa jolie découverte musicale à la Dominique a été celle d’un chanteur caribbéen ; un Saint-lucien, Jamaïcain de passage à la Dominique : c’est Legal ! Vous connaissiez ? Vous découvrez ? N’hésitez pas à donner votre avis ! J’en reparlerais surement bientôt…

Une petite remarque pour finir : avant de partir, nous nous sommes renseignée sur l’île de la Dominique et nous avons lu que l’île possédait des routes escarpées, et peu éclairées. Alors si vous, comme nous cherchiez un véhiculage pour le jour à la Dominique, et que vous aviez envie de vous louez une voiture, ne vous fiez pas à cette remarque, il se trouve que les routes ne sont vraiment pas escarpées, à quelque endroits, il se peut que l’on lui trouve quelques défauts, un peu comme en Martinique mais pas au point de qualifier la route d’escarpée !

Voilà ! Je présice que ce voyage n’était que le préambule d’une belle Odyssée…

Qu’en pensez-vous ? Ca vous donne envie d’y aller ? Vous y êtes déjà allé ? Partagez donc votre ressenti… Et vos vacances ? Vous en faîtes quoi ? N’hésitez pas à commenter !

(PS : j’avais programmé un article sur l’optimisme, malheureusement, je n’ai pas eu et n’aurai pas de si tôt le temps de le poster, ce n’est pas une raisons pour ne pas être optimiste, au contraire, et comme je l’ai dit et souhaiter au début de l’année, c’est avant tout de l’amour que nous avons besoins donc faisons de nos coeurs dont le carburant est l’amour des diffuseurs d’amour et n’hésitons pas à la propager partout, après tout, être optimiste, c’est regarder avec les yeus de l’amour !!!)

Voici un petit article que je vous écris rapidement ! Il y a certainement des fautes (surement encore plus que d’habitude même), donc je vous présente toutes mes excuses. Et si mon absence sur ce blog fut déjà longue, je crains quelle ne le sois malheureusement encore plus après cet article… Yes I’ll busy this year sorry… Promis, j’en reviendrai riche et motivé à vous écrire pleins de jolis choses (rares lecteurs qui n’osez pas laissez de commentaires, c’est le moement d’en laisser !)

XOXO,

Alychouette